Avec un titre pareil, le Professor est obligé de regarder ! De la Californie, du Sexe, les Red Hot Chili Peppers ! Avec David Duchovny, l’acteur le plus sous-employé de sa génération ! Et puis la réputation qui précède Californication, son buzz, qui veut que cette série soit le pendant, versant mâle, de l’excellentissime Sex and The City. Le héros, écrivain new-yorkais paumé à L.A., avec l’angoisse de la page blanche depuis que sa femme l’a quitté. Son espoir, les reconquérir. Original, non ?
En attendant, ca baise à tout va. Et on va voir ce qu’on voir : du cul, du cul, du cul ! Et du cul, il y en a dès l’ouverture : des seins, des fesses, du sexe oral, bref, the whole nine yards. Pire, on fume ! Et pas que des cigarettes à nicot !
Mais bon, on voit vite que Californication se résume à ça. Montrer le sexe de manière frontale, dialoguer de manière incisive, mais pour ne rien dire. Là où Sex and the City montrait peu mais disait beaucoup, Californication fait le contraire.
Et qu’est-ce qui est plus excitant à votre avis ?
31 mars 2008 à 23 h 28
Eh ben … Dire que les Red Hot ont porté plainte pour utilisation abusive du titre de leur chanson … Pas de quoi en faire un fromage … Autant regarder du Pierre Woodman …
1 avril 2008 à 8 h 06
Pierre Woodman ? Connais pas ? 😉
18 mai 2008 à 10 h 49
[…] Mais, bon, il y a de la fesse (ce qui semble être la marque de fabrique de Showtime, producteur aussi de Californication), et surtout, c’est très pédagogique, on a envie de savoir ce qui va se passer… Enfin, on sent une vraie apssion chez Michael Hirst, (réalisateur par ailleurs des deux Elisabeth) à reconstituer cette période… Donc, si vous ne connaissez rien à cette histoire, ça se laisse manger sans effort… […]