Il m’a fallu cinq minutes de visionnage de Pacific Rim pour valider ma théorie de l’Étiquette de la Bouteille de Pinard, c’est à dire qu’en cinq minutes, en jetant un œil distrait au rayons « vins fins » de l’épicerie Del Toro, on peut identifier la piquette qui se cache derrière le marketing prétendument japaniso-cthulhuien de Pacific Rim : Kaiju, Jaeger, et combat final aux poings. Robots en plastoc, monstres en plastoc, personnages en plastoc, argumentaire bidon (il faut deux cerveaux pour piloter les robots), contexte torché en deux minutes, le Mur..
Pacific Rim est une bouse. Pas besoin de perdre deux heures de ma vie pour le vérifier.