Au cinéma, c’est comme partout, y’a des marques. Celles qui donnent envie d’acheter tout de suite (Star Trek, Spielberg, Michael Bay), et celles qui font fuir illico : Nick Cage en prophète de l’Apocalypse par exemple. Etrange destin pour ce jeune comédien prometteur, qui de Birdy et de Sailor et Lula, passa – après une impressionnante séquence de muscu – à l’excellent Kiss of Death (de Barbet Schroeder), et s’y découvrit instantanément une vocation de star High Concept.*
Depuis notre Nicolas promène donc sa carcasse. Dans des nanars improbables, où, en général, il prédit l’avenir, équipée d’une prothèse capillaire tout aussi improbable : (Next et aujourd’hui Prédictions)
Ce qui fait qu’on a finit part s’en rendre compte, et donc, brand recognition oblige, ne plus y aller…
* rappelons que le scénario d’un film High Concept a pour vocation de tenir sur le dos d’une boite d’allumettes, selon la formule de Don Simpson)
23 décembre 2015 à 13 h 20
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