Il n’est jamais trop tard pour voir la lumière ! Dans le numéro de cette semaine de Télérama, l’honorable journal – qui avouons-le, soyons magnanime, s’arrange de jour en jour (ce qui n’est pas le cas de mes deux autres bêtes noires (Canard Enchaîné et Libération) – consacre trois pages laudatives à The Wire, LA série de ces dix dernières années (avec les Sopranos) : « Fresque ambitieuse » « ampleur romanesque » « sommet de la création visuelle contemporaine ».
Bon, il a trois ans, quand Jimmy l’a déprogrammée, on ne les entendait pas. Tout vient à point à qui sait attendre.
Mais non, mais non, je ne triomphe pas…