Ca y est c’est terminé ! The Wire (Sur Ecoute) réussit là où beaucoup échouent : faire fin, faire subtil. Il y a des arcs dans cette série, des enjeux, des cliffhangers, mais sans panneau « attention, cliffhanger ! » tous les 3 mètres.
Sans musique. Sans plan à la louma pour « faire comprendre » quoi que ce soit. Tout est dans le scénar, les comédiens, et surtout dans une terrible envie, celle des auteurs, de peindre leur ville.
Paint it, Black
Non, The Wire, c’est la classe.