Après une saison 5 étincelante, Mad Men réussit l’exploit de se surpasser dans cette sixième saison. Avec un final lumineux, où l’on rebat les cartes comme peu de séries oseraient le faire, tout en respectant la timeline : on est en 68, l’année du grand chambardement. Tout est possible : refaire sa vie, changer de boulot, arrêter l’alcool, dire enfin d’où l’on vient.
Le tout à la manière Mad Men : sans esbroufe, sans coup de théâtre, ni effet de manche.
Bravo l’artiste. Bravo Matthew Weiner.