Après avoir regardé Sin City dans l’unique but de voir celui-ci, et l’avoir trouvé très bien, il était intéressant de voir ce quoi s’était passé avec la licence en dix ans.
Bonne nouvelle : rien. C’est comme si les deux films sortaient à la suite, les acteurs n’ayant même pas vieilli. On pourrait donc décalquer la critique de l’autre Sin City : les deux sont aussi bons dans l’esthétique, l’hommage au film noir, le Gore mi-rigolo mi-tragique.
On est toujours loin du chef d’œuvre mais suffisamment près de ce qu’on attend d’une couple d’heure au cinéma, en résumant la phrase de David Lynch : partir, rêver, mourir et revenir.
Et c’est déjà pas mal.