Le cinéma en avion vous fait faire des choses étranges ; par exemple regarder Fast and Furious 7 parce que a) ce n’est pas grave de le regarder en VF, b) ce n’est pas grave de le voir monté, découpé haché, c) parce que, à vrai dire, F&F, on s’en fout un peu.
On a déjà vu Fast and Furious : Tokyo Drift (le 3), et on avait bien rigolé, à l’heure de la COP21, devant ce gâchis de pneumatiques et d’essence à haut degré d’octane. Las, on apprit que c’était un spin-off, et que l’intrigue ne fait pas partie du background, qu’elle n’est pas lié à la storyline globale de Fast and Furious. Essayez de relire sérieusement ces deux dernières lignes ; en cas de succès, écrire à CineFast.
Bref, on n’a pas de mal à retrouver le fil de FF7, puisqu’il y a de gros flashbacks pour les nuls aussi baraque que les deltoïdes de Vin Diesel, qui vous rappelle la storyline de l’amour-éternel-qui-renait et le background du retour-de-la-vengeance-qui-est-très-en-colère.
Même si le scenario est rédigé par des ados, ce sont des ados qu’on aime bien ; Vin Diesel (Pitch Black), Michelle Rodriguez (Lost, Girlfight), Tyrese Gibson (Transformers), etc.
Et comme en plus on passe un bon moment à voir des explosions dans tous les sens, des coups de fusils partout, des voitures qui sautent en parachute, et qui traversent la tour Burj al khalifa, etc.
Ca va pas chier loin, mais ça fait le plat pour saucer…