Julie Delpy nous revient avec la suite de son autobiographie filmée. Après 2 jours à Paris, elle nous propose de passer 2 Days in New York. Et finalement, c’est sûrement le meilleur opus de la série, analysant finement les différences franco-américaines, les préjugés de chaque côté, mais aussi ce qui nous réunit, l’amour, la famille, les enfants.
Mieux, elle sort de sa manche, après Adam Goldberg, rien de moins que Chris Rock, le parfait mari américain.
La comédie (Américaine ? Française ?) de l’année.
18 août 2012 à 13 h 46
[…] pour tous les films de Julie Delpy : sa fainéantise intrinsèque les rend soit foutrement drôles (2 Days in New York) ou gentiment faiblards (Le […]