Que dire du premier Mesrine ? Qu’il est très réussi, d’abord. Casting parfait, qui arrive même à faire jouer Cassel et Depardieu correctement, c’est dire ! (Cassel, qui n’est jamais mieux que dans ces rôles de petites frappes à la ramasse (La Haine, Sur Mes Lèvres)).
Reconstitution impec’, également, et pas seulement dans la déco : l’esprit des années 60 est là.
Enfin, on ne s’ennuie pas, (action, love(s) story(ies), etc.) mais rappelons que ce film n’a pas de fin : il se termine dans une sorte de coïtus interruptus feuilletonnant, au cœur d’une forêt canadienne. « Retrouvez la suite des aventures de Jacques Mesrine dans… »
Comme nous sommes Fordiens, à CineFast, nous attendrons donc la fin, dans L’Ennemi Public numéro 1, dès demain…
1 janvier 2009 à 17 h 03
[…] oblige nous pencher sur le phénomène : rien qu’en 2008, nous avons eu les bios de Mesrine, La Bande A Baader, Bush, Coluche, Charlie Wilson, Into the Wild, sans parler de L’Echange et de […]
1 janvier 2009 à 21 h 17
Ouf … mais je ne me fais pas d’illusions sur le 2ème opus, compte tenu de mon propre jugement et surtout connaissant ton sens critique aiguisé comme une lame …
3 janvier 2009 à 21 h 19
[…] est doué. C’est un bon metteur en scène, et même un bon directeur d’acteur. Bon dans Mesrine 1, Cassel est excellent dans Mesrine 2. Il joue le gros con, l’anar’ de droite beaufisant […]