Ça, c’est de l’or en barre ! Quand le Professore tombe là- dessus, il doit en faire profiter le CineFaster.
Dans Paris-Match daté du 29 juin (Bambi en couverture), critique dithyrambique (comme d’hab’) du dernier Woody Allen. Je passe : rien de nouveau sous le soleil. Suivi de deux pages d’interview du Maître : je lis, car si Allen est un cinéaste moyen, c’est un vrai amoureux du cinéma, et un excellent théoricien.
Et la, tatatatata (musique de Star Wars), question du journaliste, citant Philip Roth, écrivain US acclamé par les mêmes qui encensent Woody, accrochez vous : « Woody Allen n’existe qu’à cause de la naïveté européenne ! »
Je ne me vois pas ajouter quelque chose…
PS : Si, quand même : Je me souviens avoir lu dans Studio (oui, j’ai lu un temps cette revue glacée, personne n’est parfait), une interview technique très intéressante de Woody Allen : casting, cadrage, techniques de mise en condition des acteurs, le new yorkais était (et reste, je pense) passionnant…