Et voilà… On bosse, on bosse… Et on oublie de fêter la 500ème chronique, comme prévu… (Ceci est la chronique n°518)
Pas la peine d’en faire des tonnes, genre les Oscars, merci maman, merci papa…
Non : merci aux lecteurs, aux (rares) commentateurs : allez-y, lancez vous ! Vous avez bien un avis sur 2012, non ?
Merci au cinéma américain, à la télé, à l’inventeur du magnétoscope, à monsieur Free et madame Numericable, à Canal+ et à tous ces gentils tuyaux vendeurs de contenu, sans qui les amateurs d’histoires que nous sommes devraient retourner au coin du feu, près de la cheminée, écouter la merveilleuse histoire de la Belle au Bois Dormant…
« Alors, il était une fois, (les mayas l’avaient prédit) des méchants, qui s’étaient emparés d’une bombe atomique, et leur hélicoptère s’était écrasé sur une île, et là, soudain… »
24 novembre 2009 à 9 h 30
2012 : un excellent divertissement qui ne se prend jamais au sérieux, un gros joujou dans les mains d’Emmerich, un film qui n’a d’autre ambition que de nous en mettre plein la vue, aucun discours politico-écologique (là la catastrophe est inéluctable)un recul donc par rapport au Jour d’Après, enfin un parfait best-of des films catastrophes de ces 30 dernières années (Titanic, Twister, Volcano, Airport …)
24 novembre 2009 à 21 h 47
ca se discute… bientôt sur CineFast…
25 novembre 2009 à 19 h 28
Tout a fait d’accord Mr Fulci. Le film est sûrement critiquable sur plein de points, hilarant sur d’autres, mais le problème n’est pas là. En fait il n’y en a pas de problème. Quand on sait ce que l’on va (ou veut) voir, on passe un excellent moment cinématographique, calés dans nos fauteuils à se dire qu’on est mieux à notre place qu’à la leur… Et c’est bon car le plat qu’on nous sert est délicieux…
26 novembre 2009 à 9 h 27
point de vue intéressant : on accepte que le film est un gros pop corn, donc on désactive les défauts… à creuser !