C’est l’étrange alliance du polar à l’ancienne (des meurtres sont commis sur la base US en antarctique, une US Marshall déjà traumatisée s’y attelle), d’un producteur habitué aux grosses machines, Joel Silver, Mr Matrix–Die Hard, et d’un réalisateur survitaminé – pour ne pas dire plus – Dominic Sena, qui a déjà un beau parcours de GCA (Opération Espadon, 60 secondes Chrono)…
Tout cela, on le découvre un peu stupéfait au générique de fin, parce que pour tout dire, Whiteout est un peu mou de la fesse. Combat, angoisse, scène gore, révélation finale : tous ces éléments manquent de muscle. Ce qui fait qu’on a vraiment l’impression d’être dans un polar fifties, avec Lana Turner et Robert Taylor : pas trop de violence, pas trop d’angoisse, et pas de sexe.
Mais on ne boudera pas son plaisir pour autant : un avion russe écrasé, une mystérieuse cargaison à bord, et la nuit polaire qui va tomber… Quel CineFaster saurait résister à ça ?
24 novembre 2010 à 9 h 35
Pourrais te passer la BD qui a servi de support au film …
4 janvier 2017 à 16 h 02
[…] de Jane Austen, loin des nanars Hollywoodiens où elle se cantonnait habituellement (Underworld, Whiteout, le reboot de Total Recall). Ni de la faute du scénario, éblouissant quoiqu’un peu confus […]